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mardi 24 février 2015

REPONSES AUX QUESTIONS DIVERSES DES ORGANISATIONS SYNDICALES PAR THEMES COMITE TECHNIQUE du 17/02/2015

 CT du 17 février 2015

 

REPONSES AUX QUESTIONS DIVERSES

DES ORGANISATIONS SYNDICALES PAR THEMES

COMITE TECHNIQUE du 17/02/2015

 

I. INDEMNITAIRE

Primes

QUESTION : «Prime d’encadrement doctoral et de recherche (PEDR) (C.A du 25 Mars 2014)

Le président peut-il faire un point sur les PEDR ? Où en est-on de la procédure de sélection ? Quand les résultats seront ils disponibles ?» (UNSA-Éducation)

REPONSE : La procédure est dématérialisée (application DEMETER) : 274 candidatures ont été déposées en septembre 2014. Entre octobre 2014 et janvier 2015, AMU a identifié les experts qui rapporteront sur ces candidatures. Pour chaque dossier, 2 experts extérieurs ont été identifiés pour l'examiner et émettre un avis sur la base de critères clairement définis. Le 9 février dernier, DEMETER a été ouverte pour permettre l'expertise des dossiers (211 experts extérieurs ont été affectés à ces expertises). Ils ont 1 mois pour réaliser leurs expertises (fermeture DEMETER le 8 mars 2015 au soir). Le CSR traitera de l'attribution de la PEDR en faisant une proposition au Président lors du CSR du 17 mars 2015.

QUESTION : Nouvelle prime (RIFSEEP) - pour remplacer la PFR

«Mise en place du nouveau régime indemnitaire prévu au 1er juillet 2015, pour tous les BIATSS ou seulement pour les personnels ATSS ? Quelles conséquences sur la politique indemnitaire de l’établissement ?» (UNSA-Éducation)

REPONSE : Source réglementaire : Décret n°2014-513 du 20 mai 2014. Le Régime Indemnitaire tenant compte des Fonctions, des Sujétions, de l'Expertise et de l'Engagement Professionnel (RIFSEEP) a vocation à devenir le nouvel outil indemnitaire de référence, applicable par principe à l’ensemble des corps et emplois relevant de la fonction publique relevant de la loi du 11 janvier 1984. Celui-ci se substituera progressivement à la prime de fonctions et de résultats (PFR).Les modalités de mise en oeuvre sont définies dans la circulaire du 5 décembre 2014. L’intégration des corps et emplois dans le nouveau dispositif se fera en deux vagues (01/07/2015 et 01/01/2017) selon un mécanisme d’adhésion ; un arrêté fixant pour chaque ministère la liste des corps et emplois concernés est en cours de rédaction.

Au sein d’AMU :

La mise en place du RIFSEEP nécessite une cotation des emplois à l’instar des travaux qui ont été conduits autour de la NBI (travaux menés pendant plus d’une année afin de déterminer les critères permettant d’analyser chaque fonction au regard de l’organisation de l’université fusionnée) afin de pouvoir les comparer objectivement en termes de niveau de responsabilité, et/ou de spécificité, et/ou de conditions de travail particulières.

Si le calendrier d’adhésion se confirme (à savoir d’ici le 1er juillet 2015 pour les catégories B et C de l’ATSS), un groupe de travail paritaire sera mis en place. Les propositions qui seront faites devront s’intégrer à la politique indemnitaire telle qu’arrêtée par l’établissement.

QUESTION : « Concernant la prime de fin d'année accordée aux Cat C et B, les nouveaux retraités (ceux qui sont partis en 2014) pourront ils bénéficier de cette prime au prorata du nombre de mois travaillés durant l'année civile 2014 ? » (SNPTES)

REPONSE : La méthode et les règles de gestion retenues sont les suivantes:

- être titulaire de catégorie B ou C entre le 1er janvier 2014 jusqu'au 31 décembre 2014,

- proratisation en fonction de la quotité de travail au 31/12/2014 (date d'observation),

- proratisation en fonction du nombre de mois de présence au sein d'AMU (retraites, mutations, autres types de départ ou entrants),

- l'impact maladie :

NB : pour les agents en CLM, CLD au 31/12/14 pas de versement (ce sont des agents qui n'ont plus de régime indemnitaire à partir de la notification de l'arrêté les plaçant en CLM/CLD).

Pour information le paiement sera réalisé sur la paye du mois de mars.

QUESTION : « A partir d’un an de présence dans l’établissement, les personnels BIATSS contractuels de l’établissement bénéficient d’un régime indemnitaire mensuel défini par la charte de gestion des ANT.

Cette mesure n’est apparemment pas appliquée systématiquement puisque certains ANT doivent en faire la demande par l’intermédiaire de leur N+1 ou de leur chef de service.

Comment est appliquée les modalités de versement de cette prime ? « (SNPTES)

REPONSE : À chaque renouvellement de contrat, le service gestionnaire vérifie la situation de l’agent au regard des dispositions de la Charte (installation de la prime, évolution indiciaire, le cas échéant) et met à jour son dossier administratif et financier en conséquence. Si un oubli a été constaté il est procédé à une correction.

Frais de déplacement

QUESTIONS : «Certains doctorants contractuels avec mission d'enseignement sont obligés d’effectuer des déplacements avec leur véhicule personnel entre différents sites pour leurs enseignements. Ceci leur occasionne des frais substantiels alors que leur salaire n’est pas très important. Nous demandons que ces frais leur soient remboursés par l'Université.

De même, pour les Enseignants-Chercheurs et les Enseignants, le président devait réfléchir à la question du remboursement des frais occasionnés par les nombreux déplacements effectués par certains collègues afin d’assurer leurs enseignements. Où en êtes-vous de cette réflexion ?» (SGEN-CFDT)

« Est-il envisageable de prévoir le remboursement des déplacements entre les sites d'enseignement et les sites de recherche pour les enseignants-chercheurs affectés à des sites éloignés ? » (FSU)

REPONSE : Le décret n°2006-781 du 3 juillet 2006 fixant les conditions et les modalités de règlement des frais occasionnés par les déplacements temporaires des personnels civils de l’État prévoit la prise en charge des frais de transport lorsque l'agent se déplace pour les besoins du service hors de sa résidence administrative et hors de sa résidence familiale à l'occasion d'une mission, d'une tournée ou d'un intérim.

L'enseignement n'est pas considéré comme une mission au sens du décret de 2006 puisque l'enseignement entre dans leurs obligations de service. De plus, le décret de 2006 présuppose pour avoir droit au remboursement de ses frais un déplacement hors de sa résidence administrative et hors de sa résidence familiale.

Toutefois le CA a arrêté par délibération en date du 17 janvier 2012 les conditions de remboursement des déplacements entre Aix et Marseille et à l'intérieur de chacune de ces villes. Sont pris en charge les déplacements administratifs, c'est à dire sur convocation de l'administration, ou pour participer au fonctionnement d'une instance. Le remboursement de ces déplacements s’effectue selon le moyen de transport utilisé (validé par l’ordonnateur au préalable) : indemnités kilométriques, péage, stationnement, billet SNCF, ticket car 13. Les déplacements de ou vers les sites périphériques d’AMU (Avignon, Digne-les-Bains, Gap…) sont pris en charge en fonction du moyen de transport utilisé (validé par l’ordonnateur au préalable) : indemnités kilométriques, péage, stationnement, billet SNCF, ticket de bus).

QUESTION : «Il semblerait, sauf erreur de notre part, qu'AMU ait décidé d'attribuer une rémunération des directions de mémoires de master sur le critère de leur soutenance effective (appliqué à l'UFR ALLSH)? Cette soutenance n'est pas de la responsabilité des directeurs/-trices de mémoires et le travail effectif de direction ne peut pas être mesuré sur le seul critère du passage en soutenance. Cela revient à attribuer une "prime au résultat" alors même que le résultat ne dépend ni du travail fourni ni de la personne qui l'a fourni, ce qui semble entrer en contradiction avec les principes fondamentaux du droit du travail. Qu'en est-il exactement de ce qui semble être une nouvelle prime dans AMU ? (SGEN-CFDT)

REPONSE : Il ne s'agit pas d'une nouvelle prime mais de la déclinaison que l'UFR ALLSH fait du cadrage AMU des équivalences de service; nous allons nous rapprocher de l'UFR ALLSH pour en savoir plus. Il semblerait que pour déclencher un droit à une équivalence de service, l'UFR souhaite s'assurer que le travail d'encadrement (fait par l'enseignant) a effectivement permis à l'étudiant de soutenir son mémoire. C'est un critère qui n'est pas déraisonnable lorsqu'il s'agit de s'assurer que des échanges ont bien eu lieu entre l'étudiant et l'enseignant.

QUESTION : «Quelles sont les composantes qui utilisent la procédure de rémunérations des "activités accessoires", pour quel volume, pour quelles missions ? (référence : CA d'AMU n ° 2013/01/22-09 du 22 janvier 2013) » (FSU)

REPONSE : Le dispositif voté a été pris en application du décret n° 2010-235 du 5 mars 2010. Il présente tout d’abord la charte du formateur, dans le cadre de la formation tout au long de la vie des personnels, puis fixe les taux des indemnités à payer aux formateurs (formation à destination des personnels) et enfin détermine les indemnités à payer aux intervenants participant à une activité de fonctionnement de jurys (corrections de copies, épreuves orales/soutenances, conception de sujet, surveillance).

II. GESTION PERSONNEL

RECRUTEMENT DRH AMU Pharo

QUESTION : «Nous voyons régulièrement des postes publiés dans les bourses aux emplois. Avez-vous reçu des candidatures, combien retenus à ce jour ? Combien encore de vacants ?

Pour quand sont les prises de fonction des nouveaux agents ? Quels sont les priorités et objectifs de la DRH ?» (UNSA-Éducation)

REPONSE : 27 postes, pour la DRH, ont été publiés à la BIEP/BRIEP (dans les 3 niveaux de catégorie fonction publique en A, B, C) sur la période 01/09/2014 à ce jour. Nous avons reçu 884 candidatures (tout confondu), 6 postes restent encore vacants mais des recrutements sont en cours de finalisation. Les prises de fonctions s’échelonnent du 01/09/2014 au 02/02/2015 à ce jour.

La DRH a été fortement impactée par la mise en oeuvre de l’organisation cible en intégrant de nombreux nouveaux agents qui n’avaient pas ou peu d’expérience dans le domaine des ressources humaines. La volonté de la direction est de favoriser les candidatures par le biais de la BIEP ou de la BRIEP qui disposent de compétences et connaissances métiers ou de l’environnement fonction publique.

Cette volonté répond à un double objectif :

- permettre aux agents une intégration plus facile et rapide

- permettre à la direction d’être opérationnelle plus rapidement, au bénéficie de l’établissement et de l’ensemble des personnels qui sont « usagers » de la DRH, ainsi que s’enrichir de pratiques et d’expériences professionnelles extérieures.

Les priorités de la DRH sont de consolider son Pôle de gestion des personnels ainsi que son Pôle Masse/emploi.

Changement d'échelon

QUESTIONS : «Il semblerait que certains agents à ce jour n'aient toujours pas perçu le reliquat concernant leur changement d'échelon intervenu depuis plusieurs mois voir presque un an. Y a-t-il un retard inhabituel en ce moment ?» (SGEN-CFDT)

«De nombreux agents nous ont fait remonter que leur changement d’échelon n’a toujours pas été validé dans Harpège, parfois depuis plusieurs mois. Quand la DRH pourra-t-elle procéder à la mise à jour des carrières des agents ? » (SNPTES)

REPONSE :

- concernant les enseignants-chercheurs les promotions d’échelons 2014 ont été prises et payées (celles pour 2015 sont en cours d’édition et de traitement) ;

- concernant les BIATSS pour lesquels les arrêtés de promotion ne sont pas de la compétence de l’université (compétence ministérielle ou rectorale). Les promotions sont mises en paiement au fil de l’eau de leur réception ;

- concernant les BIATSS pour lesquels les arrêtés de promotion sont de la compétence de l’université (ATRF) :

au titre de l’année 2014 : les arrêtés ont été édités en début d’année 2015, le prérequis ayant été de s’assurer que l’intégration de l’ensemble des agents dans les nouvelles grilles au 1er février 2014 ait été réalisée (intégration faite par arrêtés établis par le rectorat).Les arrêtés de promotion ont été pris à l’issue de cette phase de contrôle et passés sur la paye du mois de février 2015.

Au titre de l’année 2015 : les arrêtés seront pris au cours du 2ème trimestre.

Informatique

QUESTION : «Harpège nouveau et unique déployé dans AMU. Quel calendrier est prévu ?

Formations nouvelles pour les gestionnaires DRH ?» (UNSA-Éducation)

REPONSE : le déploiement est prévu pour la rentrée 2015. Le calendrier est serré et ambitieux mais il s’agit d’un véritable enjeu pour le quotidien de la DRH et plus globalement pour le pilotage de l’établissement. Il n’y a pas de nouvelles formations spécifiques à prévoir puisque l’outil de gestion reste le même.

Contrat de travail

«Il arrive que la signature du contrat pour le début et/ou le renouvellement d’un CDD soit proposée aux agents avec du retard. Serait-il possible de prêter une attention particulière à ce type d’opération car signer un contrat en retard peut générer un stress important chez les personnes concernées. D’autre part, ne prennent-elles pas un risque en venant travailler sans contrat signé au préalable; en cas d’accident sur le lieu de travail, que se passerait-t-il ?» (SGEN-CFDT)

REPONSE : tout est mis en oeuvre sur le plan de l’organisation (collecte des informations, circuit de signature) pour que le contrat soit remis à l’agent au plus tard au premier jour de la prise de fonction. Les gestionnaires comme les services recruteurs sont sensibilisés sur la nécessité de ne pas faire travailler un agent sans contrat. Si un accident survient alors que le contrat est en cours d’élaboration, l’accident peut être reconnu comme accident de travail.

Concours

QUESTION : «Un expert SAUVADET a-t-il était mis en place pour la préparation des dossiers de concours par l’AMU ?» (FNEC-FO)

REPONSE : Un référent unique a été nommé au sein de la DRH afin d'accompagner les personnels de catégorie A Sauvadet qui n'ont pas passé le stade de l'admissibilité l'an dernier (étude du dossier RAEP). Cet agent a pris contact avec les agents concernés pour faire le point sur leurs situations et leurs attentes. Il assure également le lien avec le Bureau des concours et le Bureau de la Formation. Cet accompagnement spécifique des agents est réalisé sur la base du volontariat.

Le bureau formation a pris contact avec les formateurs externes en charge des formations RAEP afin qu'une attention et un soutien particulier leur soit apportés. Le référent RH va demander aux agents qu'il suit de s'inscrire (ou le cas échéant de se réinscrire) à ces formations RAEP.

Pour les autres agents, l’accompagnement de l'établissement via ces formations est en cours de déploiement.

Formation

QUESTION : « Quelles sont les possibilités offertes à un EC qui souhaite faire une formation ne s'inscrivant pas dans le cadre du CRCT, typiquement acquisition de connaissances juridiques, apprentissage d'une langue étrangère, etc. ? » (SNPTES)

REPONSE : Une étude du dossier est réalisée par la DRH sur la demande de l'enseignant ou enseignant-chercheur. La DRH recueille l'avis du Directeur de la composante et/ou le directeur de laboratoire et propose un accompagnement et une prise en charge. Cette proposition est soumise à l'avis de la gouvernance (VP Formation) et à l'arbitrage du Président. Les propositions de la DRH sont corrélées à la soutenabilité financière de son budget formation. La présente réponse porte sur une formation qualifiante et non une formation diplômante. En cas de demande d'exonération à une formation diplômante [DU par exemple] la demande doit suivre la voie habituelle comme pour tous les diplômes d'établissement c'est-à-dire avis de la Faculté concernée et décision du Vice-président formation.

Grève

QUESTION : « Des personnels ont été absents lors de la dernière journée de grève et de manifestation nationale initiée par les syndicats. Ils se sont vus retirer un jour de congé pour cette absence. Certains auraient préférés que l'on retienne cette journée pour fait de grève sur leur salaire au lieu d'une journée sur leurs congés. Ils n’ont pas été consultés sur ce fait.

Quelle est la procédure de retenue pour faits de grève au sein d'AMU ?

L'agent peut-il, doit-il, être informé de la procédure qui lui sera appliquée ? L'agent peut-il choisir la retenue sur salaire ou la suppression d'un jour de congé ? D'autre part les personnels nous indiquent que tous les agents absents n'ont pas été traités de la même manière, pour certains aucune procédure de retrait d'un jour de congé n'a été initiée (ni retenue sur salaire). La règle en la matière est-elle bien connue des responsables hiérarchiques et pourrait-elle être communiquée aux agents dans l'ensemble des services, divisions et composantes d'AMU ? » (SNPTES)

REPONSE : AMU n'a pas encore mis en place de procédure généralisée de recensement des grévistes mais une réflexion va être engagée sur la base de la réglementation. En l’état aucune consigne n’a été donnée dans le sens d’un retrait de congé. Bref rappel de la réglementation en vigueur : Toute journée de grève, quelle que soit la durée du service non fait donne lieu à une retenue de 1/30eme de la rémunération mensuelle pour les agents de l'Etat et de ses établissements publics administratifs.

Cette règle a été rappelée par la circulaire du 30 juillet 2003 relative à la mise en oeuvre des retenues sur la rémunération des agents publics de l'Etat en cas de grève.

« Le droit de grève est constitutionnellement garanti aux agents de l'Etat en vertu du Préambule de la Constitution du 27 octobre 1946. Ce droit doit être concilié avec le principe selon lequel la rémunération constitue la contrepartie du service fait. Dès lors, en l'absence de service fait, notamment en cas de grève, des retenues sur la rémunération des agents doivent être opérées par l'administration.

La règle dite du trentième indivisible, selon laquelle on ne divise pas le traitement mensuel d'un fonctionnaire de l'Etat par plus de trente, s'applique en cas de service non fait (notamment la grève depuis la loi de finances rectificative du 29 juillet 1961), mais également en cas d'exécution incomplète du service (depuis la loi n° 77-826 du 22 juillet 1977). L'application de cette règle conduit à opérer une retenue d'un trentième sur la rémunération des agents en poste dans les administrations de l'Etat et dans les établissements publics à caractère administratif de l'Etat, en cas d'arrêt de travail intervenu pendant une fraction quelconque de la journée. »

QUESTION : «Depuis 2 ans, le CTES demande des vacations pour absorber la surcharge de travail en période d'inscriptions pédagogiques, qui est aussi une période d'examen. Ces demandes sont refusées.

Cette année le CTES doit assurer en plus les inscriptions administratives (sur Apogée) des 650 étudiants sans moyens supplémentaires, alors qu'en 2012 le directeur de l'UFR avait promis un poste en plus si le service devait assurer les IA. Le CTES doit aussi traiter cette année les dossiers de candidature informatisés (1000 dossiers traités en 2014/2015).

Un personnel, en congé maladie depuis 3 mois, n'est pas remplacé et accroît le déficit en personnel.

La situation est déjà très difficile pour les agents du secrétariat du CTES, et ils envisagent la prochaine rentrée avec beaucoup d'appréhension. » (CGT)

REPONSE : M. Pons, doyen de la faculté des sciences réfute catégoriquement le fait de s’être engagé depuis son élection. Il confirme que l’agent en congé maladie n'a effectivement pas été remplacé mais que ceci est sans relation directe avec le CTES. L’absence de remplacement concerne aussi d'autres services de la faculté. Il précise que suite à une rencontre avec la directrice du CTES à ce sujet des propositions vont lui être faites dans la limite des moyens de la composante.

III. COMMUNICATION

Décharges syndicales

QUESTION : «Le président peux-t-il faire un point sur la forme que prend la décharge au CHSCT et au CT pour les enseignants-chercheurs ?» (UNSA-Éducation)

REPONSE : La réglementation (article 15 du décret 82-447 du 28 mai 1982 relatif à l'exercice du droit syndical dans la fonction publique) prévoit que les représentants syndicaux bénéficie d'une autorisation spéciale d’absence pour :

• Participer au Comité Technique, Commission Administrative Paritaire, Commission Consultative Paritaire, Conseil d’Administration, Comité d’Hygiène, de Sécurité et des Conditions de Travail sur simple convocation

• Participer aux réunions ou GT convoqués par l’administration

La durée de l'autorisation comprend les délais de route + durée prévisible de la réunion + un temps égal pour assurer la préparation. Les autorisations spéciales d’absences sont des autorisations de plein droit, cumulables avec les absences fondées sur l’article 13 du décret mais qui elles sont accordées, sous réserve des nécessités du service (exemple : pour assister aux congrès syndicaux ou aux réunions de leurs organismes directeurs dont ils sont membres élus, etc.).

L'établissement en la matière s'est positionné par le biais de la charte de l'élu votée le 22 juillet 2014 par son Conseil d’Administration. Chaque autorisation spéciale d’absence est formalisée de la manière suivante :

- Demande adressée au doyen/directeur-trice de la composante d’affectation pour les personnels enseignants-chercheurs

- Demande adressée au doyen/directeur-trice pour les personnels BIATSS affectés en composante ou en service commun, ou au directeur-trice général-e des services pour les personnels BIATSS affectés aux services centraux.

Une décharge en enseignement est accordée compte tenu des règles expliquées ci-dessus, pour les journées considérées, compte tenu du service prévisionnel de l’EC. Conformément à la réglementation, dans la mesure où il y a une décharge, l'enseignant bénéficiaire ne peut pas assurer d'heures de cours complémentaires donnant lieu à rémunération.

QUESTION : « Pourquoi les questions diverses et les réponses sont-elles diffusées à tous les agents avant d'être validées ? Elles font parties du CT au même titre que les autres points traités en séance, et devraient être validées avant diffusion. » (CGT)

REPONSE : Les réponses écrites aux questions diverses diffusées aux organisations syndicales puis à tous sont les réponses apportées par l’administration et le président, si elles peuvent être discutées en séance et les débats retracés dans le procès-verbal, elles n’ont en revanche pas vocation à être validées par les membres du CT en amont de leur diffusion.

IV. ENVIRONNEMENT PROFESSIONNEL

QUESTION : «Les contrats PROTISVALOR sont-ils considérés comme contrat de service public ou de droit privé ?» (FNEC-FO)

REPONSE : Protisvalor est une filiale d'Aix Marseille Université, elle est spécialisée dans l'accompagnement des chercheurs pour l'instruction, le montage et la gestion des contrats de recherche partenariaux et européens. Les missions de ses personnels sont différentes de celles des personnels de l’université.

Les contrats Protisvalor sont des contrats de droit privé régis par le droit du travail.

Les contrats d'Aix Marseille Université sont des contrats de droit public.

Protisvalor ne saurait être utilisée par ses usagers (les unités de recherche) pour prolonger l’activité d’un personnel sous contrat avec Aix Marseille Université pour la même unité de recherche et pour la même activité. Si un tel cas de figure se présentait, la continuité de l’activité pourrait donner lieu à une requalification du contrat :

- de droit privé en droit public

- de CDD en CDI (suivant l’ancienneté de l’agent)

Sécurité

QUESTION : «Comment et par qui est géré le plan Vigipirate dans l'AMU ?» « Quels sont les moyens et le chiffrage sur les différents Campus ?» (FNEC-FO)

REPONSE : Le Plan Vigipirate est supervisé par Christine Blanc en tant que conseiller prévention auprès du président en lien avec le Fonctionnaire Sécurité Défense de l'université (M.Roman) et sous la direction de la gouvernance de l'établissement. Il n’y a pas de moyens particuliers alloués, mais il a été demandé un renforcement de la vigilance de tous les agents (geste citoyen). Dans certains cas un contrôle visuel des sacs peut être réalisé par le personnel universitaire et concernant les manifestations exceptionnelles, s'il y a lieu de mettre en oeuvre des dispositions particulières, la charge financière en incombe à l’organisateur. En lien avec la préfecture, les services de police peuvent être sollicités. Mais si un risque potentiel est avéré le président se réserve le droit de refuser la manifestation.

Surveillance d’examens

QUESTION : « La surveillance d'examens fait-elle partie des missions des agents BIATSS ?

Si oui sous quelles conditions ? » (SNPTES)

REPONSE : La surveillance des examens fait partie des obligations statutaires des enseignants.

Ainsi un personnel administratif ne peut se retrouver seul à surveiller une épreuve à la place d’un enseignant. Cependant le personnel administratif peut concourir au bon déroulement des épreuves d’examens qui ont lieu dans l’Université, notamment en contribuant à la gestion administrative et matérielle des examens y compris le jour des épreuves.

ex : en communiquant toutes les informations règlementaires et matérielles aux étudiants, en préparant les salles et disposant les copies selon le plan prévu, en accueillant les étudiants dans la salle d’examen, en vérifiant l’identité des étudiants, en les faisant émarger, etc.

Logements de fonction

QUESTION : PV du CT du 23 octobre 2012 :

"La CGT a noté qu'un nouveau décret donne de nouvelles directives concernant les personnels logés. La CGT demande si l'université a engagé un recensement et quelles sont les conséquences pour les agents de l'université.

Le DGS répond qu'effectivement un recensement des situations est en cours car le texte limite les possibilités d'attribution de logement pour nécessité absolue de service. Un travail doit être réalisé par la direction des affaires générales en collaboration avec les composantes." Où en est ce travail en 2015 ? (CGT)

REPONSE : Un groupe de travail étudie actuellement le sujet. Composé de membres de l’administration et de représentants des composantes, il proposera une répartition des NAS sur les différents sites de l’université en fonction du nombre global de NAS attribuées à l’établissement et des spécificités tenant à la sécurité des biens et des personnes propres à chaque site. Une fois validé, ce projet sera soumis aux instances de l’université (CT et CA) pour une mise en oeuvre au 1er septembre 2015.

Les personnels logés recevront très prochainement un courrier les informant des nouvelles dispositions règlementaires. Si le régime de concession qui leur est attribué peut évoluer pour chacun (passage d’une concession pour nécessité absolue de service à une concession pour occupation précaire ; paiement des fluides), l’université ne demandera à aucun agent de quitter son logement à ladite date. Les agents qui seront impactés par un changement de régime en seront informés au plus tard courant mai 2015. Pour information l’estimation des loyers est réalisée par France Domaine.

Travaux espace Cassin

QUESTION N°1 : Suite à la réponse apportée au dernier CT à la question de la sécurité du public exposé au passage parfois trop rapide des poids lourds à vide ou pleins de terre le long de l’Espace Cassin, nous souhaitons redire l’exigence de qualité nécessaire quant à la protection des personnes qui vivent au milieu du chantier.

La proximité public/camion est trop grande et les protections sont insuffisantes. Sur cette portion du grand chantier, aucun panneau limitatif de vitesse, pas de dos d’âne, rien n’oblige les chauffeurs à ralentir.

Le public passe derrière les camions quand ils sont dans la pente de sortie de l’espace Cassin. Il est possible de créer un cheminement piétonnier continu à partir de villa Beauviche sans traverser sur la voie des camions. Pourquoi ne pas l’avoir prévu et mis en oeuvre ?

Par ailleurs le lavage de l’espace devant le bâtiment Cassin, peu convaincant, ne vient à bout ne de la poussière, ne de la boue. Cette poussière envahit les locaux ainsi que la boue.

QUESTION N°2 liée à la première :

« Cette boue et cette poussière entrent dans les locaux qui ne sont pas nettoyés correctement, particulièrement depuis le mois de septembre et le changement de prestataire contre lequel d’ailleurs va être lancée une mise en demeure nous a-t-il été dit. Mais quand le ménage qui n’est plus fait à l’heure actuelle, va-t-il l’être à nouveau ? Seules les corbeilles à papier sont parfois vidées… pas toujours.

Les personnels qui travaillent dans le bâtiment demandent à être considérés, que la poussière et la boue soient enfin nettoyées quotidiennement dans les salles et les passages, que les sanitaires soient faits régulièrement, ce qui n’est toujours pas le cas. Cette poussière respirée ainsi que les gaz des camions qui démarrent toute la journée en côte, à la sortie du bâtiment Cassin, sont néfastes pour la santé du public. » (SNPTES)

REPONSES :

Question n°1 : Le choix de l'entrée piéton pour accéder à l'espace Cassin s'est porté sur le portillon actuel car il est un passage accessible aux personnes en situation de handicap ce qui n'est pas le cas pour celui situé près de la villa Beauviche. Le cheminement pour accéder à l'espace Cassin prévoit de traverser la rue utilisée par les camions au niveau du passage piéton situé devant l'amphi.

il a été constaté que ce cheminement n'était pas respecté et qu'effectivement des personnes traversent la rue derrière les camions.

Pour remédier à cette situation, il est prévu:

- d'une part d'ouvrir le portillon situé près de la villa Beauviche et d'autre part d'améliorer le cheminement des piétons pour éviter que les personnes ne traversent en dehors du passage piéton existant.

Question n°2 : Effectivement des problèmes existent sur certains bâtiments avec la nouvelle société Siner titulaire du marché subséquent de l'Accord-cadre nettoyage des locaux. Consciente des dysfonctionnements observés, la DEPIL à :

- fait procéder à une remise en état complète du bâtiment Cassin pendant les vacances de Noël.

- programmé une réunion toutes les 3 semaines avec la société pour faire le point sur les problèmes rencontrés pendant la période écoulée.

- mis en place un contrôle qualité par un agent DPIL qui contrôle tous les bâtiments du quartier des Facs pour noter et fait remonter les problèmes constatés à la société Siner.

- exigé et obtenu la présence d'une équipe mobile Siner qui intervient en urgence en cas de problèmes constatés

La société Siner indique pouvoir régler ces problèmes à compter du 1 mars.

Un point sera fait mi-mars pour mettre en place les pénalités prévues si aucune amélioration n'est constatée.

Indépendamment des problèmes liés à la société de nettoyage, le bâtiment Cassin est effectivement situé en bordure de l'accès chantier du parking" silo" dans le cadre de l'Opération Campus, et de fait les salles de cours et bureaux du rez-de-chaussée sont très rapidement salis par le public nombreux qui les occupe.

mardi 27 janvier 2015

REPONSES AUX QUESTIONS DIVERSES DES ORGANISATIONS SYNDICALES PAR THEMES

CT du 20 janvier 2015 


REPONSES AUX QUESTIONS DIVERSES
DES ORGANISATIONS SYNDICALES PAR THEMES


COMITE TECHNIQUE du 20/01/2015


I. INDEMNITAIRE
 Frais de missions
QUESTION : «Pour les frais de missions (qui découlent de la résidence administrative ou familiale)
Serait-il possible d'apporter une réponse identique pour tous les agents de l'université (quel que soit le périmètre initial qui gérait l'agent) pour le remboursement des frais de missions ? Le guide des missions apporte certes un grand nombre de précisions, mais quelques points restent en suspens :
- est-il possible de confirmer le remboursement pour les déplacements intra-muros ? » (FSU)
REPONSE : Oui mais uniquement dans les villes de MARSEILLE et AIX.
- y a-t-il des remboursements de repas lors d'un déplacement administratif entre Aix et Marseille ou vice-versa ? (exclu en cas de déplacement intra-muros) (FSU)
REPONSE : Oui si la mission recouvre la plage horaire prévue dans le guide.
- le remboursement des frais de missions est-il pris en charge au niveau des services centraux ou des composantes et services ? Question qui en découle : si les composantes/services ont à assumer ces frais, une enveloppe budgétaire sera-t-elle allouée à chaque composante/service ? » (FSU)
REPONSE : Au niveau des composantes et des services, un budget est prévu pour les déplacements/missions.
 Primes catégories C et B
QUESTION : « L’état a t’il versé l’enveloppe pour les primes des CAT C et B prévue pour le mois de décembre ? Sur quel mois sera payée cette prime aux agents ? » (SNPTES)
REPONSE : Oui, la notification est parvenue à l’université le 15 janvier 2015. La prime sera payée aux agents titulaires de catégories B et C sur la paie de mars 2015.
 NBI
QUESTION : « Quand seront avertis les nouveaux bénéficiaires de la NBI ?
Le rattrapage se fera bien à partir de septembre 2014 ? « (SNPTES)
REPONSE : Les bénéficiaires de la NBI recevront un arrêté. Les agents qui la perdent seront destinataire d'un courrier nominatif au mois de janvier. Le versement interviendra sur la paie de février avec effet rétroactif au 01/09/2014.
 Heures complémentaires
QUESTIONS : « Comment différencier les heures appartenant au service statutaire d'un enseignant-chercheur ou d'un enseignant, de ses heures complémentaires dans une charge d'enseignement ? La Direction de l'Université a décidé d'appliquer la méthode qui pénalise le plus les enseignants-chercheurs et enseignants, à savoir le maximum de cours et de TD dans le service et donc le maximum de TP dans les HC. » « Les obligations de service des enseignants à statut 2nd degré sont principalement définis par le Décret n°93-461 du 25 mars 1993. Celui-ci stipule dans son article 2 : « Les enseignants titulaires ou stagiaires du second degré auxquels s'appliquent les dispositions du présent décret sont tenus d'accomplir, dans le cadre de l'année universitaire, un service d'enseignement en présence des étudiants de 384 heures de travaux dirigés ou de travaux pratiques... » et dans son article 3 : « Le service hebdomadaire d'enseignement assuré par les personnels visés par le présent décret ne doit toutefois pas être supérieur à quinze heures pour les professeurs agrégés de l'enseignement du second degré et à dix-huit heures pour les autres enseignants. » La 16ème heure hebdomadaire pour un professeur agrégé de l'enseignement du second degré et 19ème pour un autre enseignant est donc une HC. Pourquoi cette mesure n'est-elle pas appliquée ? Pourquoi les fichiers utilisés pour les déclarations de service, fournis par l'administration ne permettent-ils pas de l'appliquer ? » (CGT)
REPONSE : Rappel réglementaire et principes de gestion appliqués à Aix-Marseille Université
 Principes réglementaires de décompte de service :
- cadre du service statutaire (192 HETD pour les EC, ATER, Associés temps plein – 384 HETD pour les enseignants du second degré) :
o 1 heure de CM = 1.5 HETD
o 1 heure de TP = 1 HETD
- Au-delà de ce service statutaire :
o 1 heure de CM = 1.5 HETD
o 1 heure 30 de TP = 1 HETD
Nb : pas de HCC pour les ATER
 Détermination des heures considérées comme étant du sur-service :
o La réglementation ne précise pas clairement la règle : art 2 du décret du 23 décembre 1983 relatif aux indemnités pour enseignements complémentaires : « Les cours, les travaux dirigés et les séances de travaux pratiques sont rémunérés à l’heure effective par une indemnité non soumise à retenue pour pension dont les taux seront fixés par arrêté conjoint du ministre de l’économie, des finances et du budget et du ministre de l’éducation nationale, de la jeunesse et des sports. »
o Le ministère dans une circulaire DPE A2 n°891 du 7 novembre 2001préconise d’utiliser la méthode calendaire. La 193ème heure réalisée dans le temps est celle payée en heure complémentaire. Faute d’outils adossés aux emplois du temps et aux occupations de salles, il est très compliqué voire impossible d’appliquer cette méthode
o La méthode approuvée après une analyse approfondie du dossier, est que, lors de l’établissement de l’état de service d’un enseignant, seront intégrées dans le service statutaire d’abord les heures réalisées en CM, puis en TD et enfin en TP. Le principe est appliqué sur les enseignements réalisés d’abord en composante d’affectation de l’enseignant puis, le cas échéant, dans les autres composantes où celui-ci serait amené à intervenir.
 Pourquoi ce choix par l’université :
o Utiliser une méthode assez simple compte tenu du manque actuel d’outils de gestion au sein des composantes et en directions centrales ;
o Maîtriser les dépenses d’heures complémentaires qui s’élèvent à 22 millions d’euros.
 Cas spécifique des enseignants du second degré :
o Pour les 2nd degré, s’ajoute la difficulté particulière du maximum hebdomadaire de quinze heures pour les professeurs agrégés et de dix-huit heures pour les autres enseignants. Compte tenu de l’organisation particulière de l’année universitaire, plus réduite en nombre de semaines d’enseignement que dans le second degré, l’application du principe est généralement impossible.
o L’application du service annualisé est donc le principe, sauf exception à l’IUT pour lequel la direction effectue un décompte manuel des heures complémentaires à répartir sur l’ensemble de l’année universitaire.
 Cette solution sera réexaminée dans le cadre de la mise en place de l’outil ARES (en cours de développement et de déploiement).

II. GESTION PERSONNEL

 Plan de formation
QUESTION : « Le Plan de formation 2015 se met en place progressivement, des sessions sont proposées actuellement en DRH, Financier, Deve.
Pour les formations plus générales (bureautique, messageries, Internet) ou de sécurité, est-il prévu un planning prochain ? « (UNSA)
REPONSE : Le plan de formation est progressivement mise en oeuvre selon le calendrier suivant :
 janvier
o Ressources Humaines et gestion du personnel
o Fonctions financières et comptables
 février
o Lancement des formations concours (préparation concours ITRF réunion d'information, la rédaction du rapport d'activité A et B, la rédaction de la liste d'activité cat C, etc.)
o Hygiène et sécurité (recyclage)
o Management (parcours management 6 jours Administratif, parcours management 6 j Technique, la cohésion d'équipe) etc.
 mars
o Administration et Institution (Grands principes de gestion des personnels de l'université, Grands principes de gestion des étudiants et des enseignements, Notions de base de la commande publique, etc.)
o Bureautique (les formations word (3) et excel (4) avec un décalage de date entre elles permettant à un agent de suivre le parcours complet)
o Management (formation des formateurs internes) etc.
 avril
o Poursuite des formations du domaine "Administration et Institution" (Structure et fonctionnement de l'enseignement supérieur, Notions juridiques de base)
o Compétences clés (Techniques d'accueil physique et téléphonique)
o Compétences juridiques (Initiation au droit public et aux bonnes pratiques administratives)
o Recherche (Initiation aux droits des contrats et conventions)
o Langues (Anglais accueil physique + téléphone + messagerie, langue des signes française) etc.
Les autres formations seront déployées progressivement tout au long de l'année. Pour certaines, nous sollicitons des formateurs internes, un décalage de quelques semaines peut être réalisé afin de leur permettre de préparer les formations dans les meilleures conditions. Une communication sur les formations sera réalisée par le biais des newsletters et des DRH-Campus afin d'informer les agents de l'établissement.
QUESTION : « Le Plan de formations du CIPE est-il prévu pour un prochain CT ? « (UNSA)
REPONSE : Il est inscrit à l’ordre du jour au prochain CT.
 Contrats étudiants
QUESTION : « Outre le fait que nous regrettons l'organisation mise en place qui induit forcément un décalage dans la mise en paiement des heures faites (les heures de fin octobre seront au mieux payées fin janvier), et une intervention forcément individuelle des étudiants pour demander l'avance et le règlement de leur situation en lieu et place d'une solution collective (démarche effectuée individuellement auprès du service RH du campus), et face à un problème récurrent, une solution plus viable pourrait-elle être mise en place cette année ? » (FSU)
REPONSE : La mise en place de l’organisation cible de la DRH en septembre induit des retards dans les délais de traitement. Plusieurs actions ont été mises en oeuvre pour y pallier : formation des nouveaux gestionnaires, outils harmonisés, renforcement du nombre de personnes en charge de ces dossiers, diffusion large de la nouvelle procédure (composantes, directions, service communs). Pour favoriser l’appropriation des circuits des réunions d'information sur la procédure de gestion des contrats étudiants sont également prévues, tant à destination des composantes et services que de la DRH et de la DEVE notamment. L'ensemble de ces dispositions permettra de traiter les dossiers dans des délais conformes aux attentes. Il faut par ailleurs préciser que la pratique des avances n’était pas jusque-là uniformément appliquée et n’est pas la règle normale (principe du paiement après service fait).
 Résidence administrative
QUESTION : « Peut-on préciser ce que recouvre la résidence administrative?
Exemple : au SCD, les agents ont un arrêté les nommant dans le service. Or cela recouvre 18 sites sur plusieurs campus dans plusieurs villes (Digne, Marseille, Gap, Avignon, Aix). « (FSU)
REPONSE :
 Réglementation
Décret n°2006-781 du 3 juillet 2006 fixant les conditions et les modalités de règlement des frais occasionnés par les déplacements temporaires des personnels civils de l’Etat
Article 1 : « résidence administrative : le territoire de la commune sur lequel se situe le service où l’agent est affecté ou l’école où il effectue sa scolarité. Lorsqu’il est fait mention de la résidence de l’agent, sans autre précision, cette résidence est sa résidence administrative. »
Aux termes de l’article L. 712-2 du code de l’éducation, «le président de l’université dirige l’université...Il a autorité sur l’ensemble des personnels de l’établissement. Il affecte dans les différents services de l’université les personnels administratifs, techniques ouvriers et de service».
 Jurisprudence
Un changement d’affectation est considéré comme emportant changement de résidence dans les cas suivants :
o changement de région ;
o changement d’arrondissement (différent de l’arrondissement municipal, Marseille ou Aix constituant un arrondissement) ;
o changement d’établissement distinct juridiquement et géographiquement ;
o obligation de quitter un logement de fonction.
Pour la fonction publique d’Etat (FPE), le juge administratif a, par ailleurs, renvoyé aux ministres en leur qualité de chef de service, la définition de la résidence administrative.
Un arrêt du Conseil d’État du 4 avril 2001, DELPECH et autres, n° 163087, souligne qu’«en l’absence de toute disposition légale définissant la résidence administrative pour l’application de (ces dispositions) il appartient au ministre, en sa qualité de chef de service, de déterminer les limites géographiques de la résidence administrative. Si la résidence administrative s’entend en général de la commune où se trouve le service auquel est affecté l’agent, il en va différemment dans le cas où l’activité du service est organisée sur plusieurs communes.
Les considérants de cet arrêt conduisent à considérer que les chefs d’établissements publics d’enseignement supérieur, en leur qualité de chefs de service, ont la possibilité de décider que les composantes de l’établissement implantées dans une même agglomération relèvent d’une même résidence administrative au sens des dispositions de l’article 60 précité.
La résidence administrative se définit comme le territoire de la commune sur lequel se situe le service où l’agent est affecté. Concernant la notion de territoire de la commune, il s’agit du territoire de la collectivité territoriale du même nom.
 Conclusion
Pour une première affectation, il appartient au Président de fixer la résidence administrative d’affectation des agents. En cas de changement d’affectation, l’avis de la CPE sera requis pour dans les cas emportant changement de résidence cités ci-dessus. Dans les autres cas, le changement d’affectation sera mis pour information à l’ordre du jour de la CPE.

III. COMMUNICATION

 Convention avec l’Université de Toulon et d’Avignon
QUESTION : « AMU, au travers de sa direction opérationnelle des systèmes d’information, est chargée de coordonner ce projet (Stratégie de coopération et de développement avec Avignon et Toulon) et affecte les moyens techniques et humains nécessaires, au suivi des prestataires et à la supervision du réseau.
Les établissements du site pourront être associés à la réflexion portant sur les modalités de prorogation éventuelle de l’Université Numérique en Région.
Une mutualisation des ressources, des outils informatiques et des moyens humains elle est prévue avec l’Université du Var et celle du Vaucluse ? » (SNPTES)
REPONSE : Le texte de la convention de site a été approuvé par le CA d’AMU du 28/10/2014 et celui de chacun des autres partenaires. Il est disponible sur le site de la DAJI rubrique « actes réglementaires- délibérations du CA ». Des conventions bilatérales, en cours de négociation, préciseront les dispositifs d’éventuelle mutualisation.
 CPE
QUESTION : « De nombreux collègues Biatss s’étonnent de n’avoir aucune information sur les réunions des CPE traitant des promotions. Nous demandons que tous les personnels soient tenus au courant du déroulement de ces CPE et que des comptes rendus officiels soient publiés par l’administration. D’autre part, dans un souci de transparence et comme ceci se pratique au CNRS, nous demandons aussi une publication officielle par l’université des promu-e-s lors de chaque campagne. » (SGEN-CFDT)
REPONSE : Les délibérations des différentes CPE constituent des actes préparatoires à des décisions individuelles qui sont arrêtées ensuite soit en CAPA soit en CAPN. A ce titre, elles ne sont pas communicables. La communication aux tiers des documents administratifs est possible dans la mesure où ils ne font état que de la situation statutaire et objective de l'agent en dehors de toute considération liée à sa personne ou à sa manière de servir.
Or les procès-verbaux d'instances paritaires contiennent des informations sur les agents.
Il n'est donc pas possible de publier les comptes rendus de CPE traitant des promotions, il appartient à chaque agent qui le souhaiterait de demander la communication de l'extrait le concernant.
En revanche, après la tenue de ces instances décisionnelles, la publication officielle de la liste des agents promus pour chaque campagne est possible. Dans la mesure où les agents qui y sont mentionnés ne sont pas classés par ordre de mérite, il est donc possible de publier les TA et LA par ordre alphabétique intégral.
Le Président s’engage à les publier dans le cadre de la stricte réglementation.
 Elections professionnelles
QUESTION : » Pourrions-nous avoir les copies des PV des élections du 04 décembre, ceci pour tous les scrutins et tous les bureaux de vote ? « (SGEN-CFDT)
REPONSE : Les procès-verbaux par bureau de vote n'ont pas vocation à être publiés. En revanche, ils constituent des documents administratifs définitifs, les résultats des élections professionnelles ayant été proclamés. Ils sont donc effectivement juridiquement communicables sur demande. Ils pourront donc être mis à disposition dès réception d’une demande écrite en ce sens.
 Suivi des décisions du CT :
QUESTIONS : « Nous demandons qu'à chaque début de séance d'un comité technique, un point soit fait par la direction sur le suivi des décisions et des réponses aux questions diverses des CT précédents. Notamment - La charte de gestion des agents non-titulaires doit être rediscutée au bout de deux ans. Ce délai est déjà largement dépassé. Quand se réunira le GT ANT pour en discuter ?
- Service de formation continue à Colbert: en juillet 2014, vous nous disiez qu'un recrutement était en cours. A ce jour, personne n’a été recruté encore. Où en est-ce ?
- Un groupe de travail paritaire sur l’élaboration du bilan social devait être constitué avant fin 2014. Quand est-ce prévu ? » (CGT)
REPONSES :
- Groupe de travail ANT : il va être réuni et sera animé par Jean-Philippe POTIER. Il aura pour objet principal de faire un point d'application de la charte depuis sa mise en place et de réfléchir à l'accompagnement à apporter aux agents non titulaires en fin de contrat.
- La personne recrutée à la formation continue de la FEG Colbert en septembre 2014 a quitté l’université le 31/12/2014 et sa remplaçante a pris ses fonctions le 4 décembre 2014.
- Groupe de travail bilan social : plutôt que la mise en place d'un groupe de travail à proprement parler, il avait été arrêté que la DRH réunirait les représentants des personnels pour identifier les points d'amélioration souhaités. C'est ce qui va être fait par Monsieur Potier avec la DRH.

IV. ENVIRONNEMENT PROFESSIONNEL

 Cafétéria
QUESTION : « Certaines cafétéria Crous dans les campus parlent d’une prise en charge AMU restauration (avec carte personnelle Izly) sur les menus proposées hors restaurants universitaires.
Cette information est-elle officielle ?
Y a-t-il des modulations selon les indices comme pour la restauration classique ?
Dans l’affirmative le Scasc pourrait-il communiquer largement sur ce sujet. » (UNSA)
REPONSE : Un mail va être adressé, suite à la réception récente de la convention revenue signée du CROUS.
En voici le texte :
« Nouveautés concernant la restauration CROUS 2015:
Comme vous le savez AMU mène une action volontariste en faveur de la restauration sociale. Depuis janvier 2015, l'augmentation de la PIM de 1 centime d'euro établit la participation interministérielle à 1,22€/repas (au lieu de 1,21€ en 2014). Les partenaires de la restauration ont été prévenus de cette augmentation qui entrera en vigueur progressivement en fonction du calibrage des caisses des prestataires.
Rappel: Les subventions SCASC seront donc de : jusqu'à l'INM 465 : 1.22+1.22 = 2.44 € de l'INM 466 à l'INM 657 = 1.22 €
Par ailleurs, le SCASC a développé son partenariat avec le CROUS afin de proposer des formules du midi dans certaines cafétérias qui ne le pouvaient pas jusqu'à présent. Ces 3 formules de midi ne sont pas accessibles depuis tous les sites et s'échelonnent selon leurs contenus entre 5,05€ et 5,25€.
L'ensemble de ces formules donne accès aux subventions: PIM+ AMU (sauf indice de rémunération supérieur à 657).
4 sites sont concernés: Médecine Timone : formules 1/2 et 3, Pharmacie : formules 2 et 3, Montperrin : Formule 3, ESPE (Av Jules ISAAC Aix-en-Provence): formules 1 et 3.
3 formules proposées:
Formule 1
Formule 2
Formule 3
Plat du jour ou Steak haché frites
3,10€
Pasta BOX
2,90€
Grande salade
3,50€
Fruit
0,50€
Fruit
0,50€
Yaourt supérieur
1,15€
Yaourt supérieur
1,15€
Yaourt supérieur
1,15€
Eau de source 50 cl
0,50€
Eau de source 50 cl
0,50€
Eau de source 50 cl
0,50€
5,25€
5,05€
5,15€
Rappel: Les rémunérations, dont les indices sont supérieurs à 657, ne bénéficient d'aucune subvention: ni PIM, ni subvention AMU. Hors restauration CROUS merci de vous rapprocher des SCASC CAMPUS pour ouvrir vos droits dans les restaurants partenaires:
- pour le MESS du Pharo voir le SCASC Campus du Pharo (Marion Rageau au Pharo -permanences les mardis - marion.rageau@univ-amu.fr),
- pour la Sogéres à Luminy voir le SCASC Campus de Luminy (Françoise CHAUDEAUX - luminy.sc-scasc@univ-amu.fr)
- pour les autres restaurants: Bâtir GAP, la Cogéra, l'ARPA à l'Arbois, CNRS Joseph Aiguier ...voir le SCASC Campus de St Charles (Véronique Maze - veronique.maze@univ-amu.fr) ».
 Accès sites universitaires
QUESTION : « Nous demandons que tous les élus et représentants du personnel de tous les conseils et comités d’AMU aient un laissez-passer signé du président, leur permettant d’accéder avec leur véhicule à tous les sites de l’université, en effet, nous rencontrons encore des difficultés malgré le vote de la charte du statut de l’élu par le CA. « (SGEN-CFDT)
REPONSE : Il n’est pas envisageable de créer des cartes uniques d’accès à tous les sites à ce jour compte tenu la multiplicité de logiciels qui gèrent les différentes barrières et contrôles d'accès aux campus. L'étude d'harmonisation de ces cartes est en cours. Le Président s’engage néanmoins à communiquer à la DEPIL la liste des élus pour que l’accès soit effectivement mis en oeuvre sur tous les sites.
 Délocalisation reprographie
QUESTION : « Est-il vrai que le service de reprographie du site Saint-Charles va être délocalisé? Si oui pourquoi ? « (SGEN-CFDT)
REPONSE : Il n’a jamais été question de fermer la reprographie de Saint Charles ; cette reprographie est un atelier de proximité comme il a toujours été prévu de l’être. Actuellement, la DPSI occupe 300 m2 de locaux, surdimensionnés pour l’activité de ce service, qu’il faudrait remettre intégralement aux normes d’Hygiène et de Sécurité. En conséquence, il est envisagé de restituer à la DEPIL Campus un peu plus de 200 m2 de ce local et de conserver pour ce service un local adapté à la production de ce site, d’environ 90 m2.Ce local comprendra un matériel de production quadrichromie, deux matériels de semi-production, plus un appareil multifonctions pour les enseignants. Ces matériels suffisent à la production du site. Une machine de production doit faire l’objet d’un transfert vers Saint Jérôme car elle est sous-utilisée. En effet elle est prévue pour un engagement 1.200.000 pages/an et, à ce jour, elle produit 600.000 p/an.
Trois agents seront présents fin janvier pour assurer la production.
 Moyens syndicaux:
QUESTION : « Suite à l'adoption du statut de l'élu, certains moyens ont été déployés, comme les panneaux d'affichage. Mais tout n'est pas encore en place. Il manque :
- un local syndical au Pharo
- une procédure claire pour les travaux de reprographie - la répartition des heures de décharges accordées par l'université au prorata des résultats aux élections professionnelles » (CGT)
REPONSES : il n'y a pas de bureau disponible au Pharo qui pourrait être dédié à un local syndical. En revanche, une salle de réunion peut être demandée pour la tenue de réunions. Pour des rencontres individuelles, il existe dans les deux nouveaux bâtiments de petites pièces dites "de confidentialité" qui peuvent également être utilisées.
Chaque OS choisit un atelier (et un seul) de reprographie au sein d'AMU. Elle nomme un référent par lequel transiteront toutes les demandes de travaux. La DEPIL établit un document type qui servira à cet effet. Le chef d'atelier tient la comptabilisation des demandes de tirage.
Il informe les OS de la disponibilité des documents reprographiés. Ils sont remis aux OS sur place ou adressés par la navette.
Concernant la répartition des 3214 heures de décharge accordées par AMU sur la base des sièges obtenus lors des dernières élections au CT, le résultat est le suivant :
• FNEC-FO : 2 sièges soit 642 h
• CGT FERC Sup SNTRS : 2 sièges soit 642 h
• FSU: 1 siège soit 321 h
• SNPTES : 3 sièges soit 964 h
• SGEN CFDT : 1 siège soit 321 h
• UNSA-EDUCATION: 1 siège soit 321 h
QUESTIONS NE RELEVANT PAS DE LA COMPETENCE SPECIFIQUE DU CT
QUESTION : « La cafétéria du Pharo qui sera gérée par le CROUS, sera-t-elle ouverte aux étudiants ?
Si oui, quels seront les tarifs appliqués ? Si non, pourquoi ? « (SGEN-CFDT)
REPONSE : Si des étudiants participent à des réunions institutionnelles au Pharo ils pourront être accueillis.
 Travaux Espace Cassin
QUESTION : « Les travaux de création du parking sur P1 génèrent un va et vient de poids lourds chargés de terre ou de rochers qui passent toute la journée à 5 mètres de l’Espace Cassin, le long de l'immeuble. Le public qui circule est séparé des camions par des plots en béton bas, posés après le début du chantier, à la demande d'un agent, demande relayée à Eiffage par la direction de Plan Campus. Ces plots sont censés protéger les agents du rez-de-chaussée, en cas de rupture de freins d'un engin chargé, dans la pente de la sortie du 5, Schuman.
Est-ce une réelle protection validée par un expert extérieur à Eiffage ? Jusqu'à quelle date est prévue le va et vient des gros engins de chantier ? Une étude des risques (corporels et santé) encourus par les agents et le public dans les conditions actuelles de protection du chantier a-t-elle été réalisée par les services compétents et validée par la gouvernance avant d'organiser le transit des matériaux par camion dans ces conditions ?
La vitesse obligatoire à observer par les chauffeurs le long de ce bâtiment n'apparaît pas sur ce trajet interne à l'université. Certains roulent vite et font voler d'autant plus de poussière qui rentre par les ouvertures dans les locaux du rez-de-chaussée et est respirée par les personnes qui sont sur place.
Quel impact sur la santé, notamment pour les poumons sur les personnes à risque ? » (SNPTES)
REPONSE : Les plots en béton n'ont pas été installés pour des raisons de sécurité des engins mais bien pour matérialiser le passage des camions et pour empêcher les piétons de passer par là. La vision du camion reculant est certes impressionnante mais il n’y a pas de risques, tous les camions sont équipés de système de blocage de freins. Le nettoyage des roues fait partie intégrante des obligations de l'entreprise donc l'émission de poussière sera limitée.
 Campagne d'avancement :
QUESTION : « La date limite des retours de dossiers aux DRH campus était fixée au 12 janvier. Mais chaque service et composante a fixé une autre date de retour de dossier à sa direction, allant du 14 décembre à début janvier. Ce traitement différencié crée une grande inégalité dans le temps laissé aux agents pour constituer leur dossier. Que proposez-vous pour corriger cela ? » (CGT)
REPONSE : Le calendrier imposé est très contraint ; il n’est donc pas possible d’intégrer les dispositions internes des différents services.

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